Ils sont présents partout sur Internet et ils prennent bien des formes ces fameux boutons. Il y a 3 phases pour un bouton. Le moment où l’utilisateur n’a pas encore cliqué dessus, le moment où il va cliquer/interagir avec et la phase ou le boutons a déjà été cliqué. Ils sont souvent associés à des CTA (Call to Action).

Comment faire un bon bouton ?

La forme et le type du bouton sont essentiels à sa bonne compréhension. Le texte sur les boutons doit lui aussi être le plus clair possible afin que l’utilisateur n’ait aucun doute sur les conséquences de son action. Le bouton par sa mise en forme doit pouvoir aussi clairement indiquer si il est activable ou non.
Par exemple lors d’une action destructive on va faire en sorte que la couleur dominante du bouton soit du rouge pour attirer l’attention de l’utilisateur sur l’importance de l’action qu’il va effectuer. Le rouge étant associé dans l’imaginaire collectif à l’interdit (panneaux routiers et à la fermeture).

Quelques tendances des boutons

Le « Metamorphing » où quand le bouton devient l’action qu’il exécute. Si vous vous acheter une paire de chaussures, au moment où vous l’ajouter au panier en cliquant sur le bouton, le bouton va s’agrandir et avec lui des champs vont apparaitre comme sélectionnés la taille mais aussi le coloris. Cela rend l’expérience utilisateur plus fluide et immersive.
Les motions buttons sont des boutons animés, afin de les rendre encore plus compréhensif pour l’utilisateur. Par exemple si l’utilisateur soumet un questionnaire, on peut imaginer que le bouton de validation se transformerait en icone de chargement et qu’à la fin de celui-ci le bouton reprenne sa forme originelle avec un texte indiquant la validation de l’action.
Les boutons sont partout et sous plein de forme diverses, il faut donc exploiter au mieux ces différents formats afin d’utiliser celui qui convient le mieux au contexte.

Nouvelle tendance : Les boutons fantômes 

Apparu en 2014, comme son nom l’indique, le bouton fantôme est un bouton transparent dont l’apparence change lorsque l’on place la souris dessus. Ces boutons fantômes, de par leur apparence, incitent l’utilisateur à cliquer dessus, car il s’adapte au site sur lequel ils sont : c’est un résultat élégant. Ils trouveront toujours une place sur votre site internet grâce à leur apparence transparente. 
Les boutons fantômes se démarquent donc et ont un succès auprès des créateurs de sites grâce à leur esthétique. 

Les ghost buttons sont apparus avec l’arrivé de iOS 7 qui en comportait beaucoup dans son interface. Ces boutons arrivent avec la mode du flat design. Tout d’abord ce sont des boutons simples à créer, ils permettent à l’utilisateur de rester concentré sur le contenu et pour finir ils sont simples à intégrer. Le souci c’est qu’ils sont peu impactants et donc en tant que CTA principal, ils ne vont pas forcement attirer le regard.

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