Geovani trouve son équilibre dans sa nouvelle mission qui lui permet d’allier son rôle de père et d’exercer sa spécialité : le développement d’interfaces IHM. Membre de l’équipe lyonnaise Creative Tech, il nous en dit plus sur son quotidien, l’état d’esprit de l’équipe, et sa mission chez le client.

Peux-tu te présenter en quelques mots ? Qu’est-ce qui te passionne dans ton job ?

Je suis développeur spécialisé IHM (Interfaces Homme-Machine), le « front » comme on dit. À l’origine, j’étais dans le cinéma d’animation via ma formation universitaire puis j’ai souhaité saisir l’opportunité que représentait le développement. J’ai travaillé pour deux ESN avant Devoteam, en régie comme au forfait. Je pense qu’un de mes meilleurs atouts est l’adaptabilité. En cinéma d’animation, je ne faisais pas de la programmation à proprement parler, mais la prise en main des nombreux outils du métier m’a aidé à me familiariser avec les logiques informatiques.

Au cours de mon parcours, je suis intervenu pour des acteurs de la bancassurance, ainsi que de l’énergie. Des grands comptes. Sur ces projets-là, si l’on n’est pas performant, on ne reste pas. Ça a été très formateur et a contribué à forger le sens de l’adaptation dont j’use aujourd’hui au quotidien. Ce qui me plaît dans mon travail ? C’est résoudre avec mon équipe les problématiques posées par nos clients. Je ne prétends pas qu’on révolutionne toujours tout. Mais au moins, les aider à utiliser au mieux leur outil ou à se doter d’un nouveau dispositif performant.

 

Peux-tu nous parler de ton quotidien en tant que consultant informatique chez Creative Tech ?

Mon quotidien est très marqué par l’esprit « agile ». Le matin on commence par les daily meetings. On essaie de voir en équipe ce qui a été fait la veille pour se resynchroniser. Voir les points de blocage s’il y en a et refixer sur quoi on se projette pour la journée. À partir de là, on se dispatche les tâches entre nous. Moi, en tant que spécialiste des interfaces front Angular, je suis là pour aider nos autres développeurs au profil plus back, portés sur la techno Java.

« Côté code, on fait du peer programming. Y compris lorsque nous sommes en télétravail, on tente de coder ensemble et en même temps. »

Je prends des tickets et réalise les tâches associées tout au long de la journée, mais mes collaborateurs n’hésitent pas à venir me voir. Ils savent que pour toute question de l’ordre de l’IHM ou des interfaces, ils peuvent me demander de l’aide. J’essaie de leur répondre, sinon on tente de remonter ensemble les meilleures options via internet. Côté code, on fait du peer programming. Y compris lorsque nous sommes en télétravail, on tente de coder ensemble et en même temps.

Sur quels types de missions as-tu travaillé ? 

Je suis actuellement en mission chez Enedis, acteur français de l’énergie. J’interviens sur une très grosse application interne. Elle gère les compteurs de relevé électrique chez les professionnels. C’est un projet qui a été initié en 2017, une nouvelle version qui va remplacer l’application historique. 

J’assure la relève d’un expert sur l’interface utilisateur et je suis là pour essayer de reprendre l’ensemble de ses tâches. Il s’agit plus précisément du code qui gère les interfaces web. On est sur la technologie Angular. Si tout se passe bien, la bascule totale de l’application devrait être réalisée l’année prochaine. Ainsi que le décommissionnement de la précédente version.

Pourquoi avoir choisi de rejoindre la Tribu Tech de Devoteam Creative Tech ?

Tout s’est fait très vite. Dès les premiers échanges avec les responsables RH de Devoteam Creative Tech, la mission en ligne avec mon profil et dans laquelle je suis encore aujourd’hui a émergé dans les discussions. J’ai ensuite passé très rapidement un entretien avec le client qui s’est avéré concluant.

 

« J’apprécie beaucoup l’état d’esprit de l’équipe lyonnaise dans laquelle j’évolue aujourd’hui. Son côté humain est réel, pas surfait. »

J’apprécie beaucoup l’état d’esprit de l’équipe lyonnaise dans laquelle j’évolue aujourd’hui. Son côté humain est réel, pas surfait. On essaie de se retrouver en dehors du bureau et l’on y parvient assez bien, même si pour ma part ce n’est pas évident. J’ai pas mal de contraintes personnelles avec mes deux filles. Je dois repartir vers 17h30 le soir pour aller les récupérer à l’école. En tout cas, l’ambiance est très bonne et l’on se sent entouré. Avec une vingtaine de collaborateurs, on reste une petite équipe, ce qui facilite les échanges.

Qui est ton manager au quotidien ? Comment t’accompagne-t-il ? 

Vincent Frucquet m’accompagne depuis mon arrivée au sein de l’équipe. C’est lui qui gère la team lyonnaise. J’ai notamment pu bénéficier d’une semaine pour découvrir les locaux, rencontrer l’équipe sur place… Il a pris le temps de bien m’assister dans cette phase souvent un peu délicate où l’on découvre notre nouvel environnement de travail. On a longuement discuté également avec mon Career Manager. On a tout de suite évoqué mes possibilités d’évolution à moyen et long terme… Sur des postes d’encadrement technique notamment. Ce n’est pas pour tout de suite, mais je peux m’inscrire dans la durée.

Avec Vincent, qui a des enfants aussi, on discute pas mal de choses personnelles. Côté travail, on a des points d’étape tous les trois mois. Il passe me voir directement chez mon client Enedis. On se réunit avec le chef de projet et deux Leads tech côté client. On fait le bilan tous ensemble et on focus sur les points à améliorer s’il y en a. On est actuellement en train d’assurer la bascule entre les deux applis, c’est un moment décisif. Les fonctionnalités migrent au fur et à mesure. Je donne le meilleur de moi-même pour aller au bout de ce projet.

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